|
Monographie de Villers-aux-Vents.
« Ecarts qui en dépendent : Le Moulin de Péroyes à 1100 mètres du village et la Tuilerie à 400 mètres.
Enfin la cessation définitive des travaux de la tuilerie, laquelle occupait une vingtaine d'ouvriers qui ont dû quitter le pays. (Explication de la diminution des habitants de Villers)
Une tuilerie, construite en 1845 au bas du village dans des terrains renfermant de l'argile de bonne qualité a fonctionné jusque 'en 1875.
L'éloignement du chemin de fer et du canal, le mauvais état des chemins conduisant à la gare et par conséquent l'élévation du prix de revient ont empêché l'écoulement des produits et provoqué la fermeture de la tuilerie, aujourd'hui démolie. »
Annuaire de 1848.
« En juin 1843, une tuilerie s'est montée en bas du village, à gauche du chemin qui conduit à la route et toute à proximité de terrains qui renferment de l'argile de très bonne qualité pour la fabrication de la tuile. »
L'Argonne de J. Hussenet
« Industrie : tuilerie.
La Tuilerie (disp. milieu XIX°) et la Nouvelle Tuilerie (disp. v. 1880). »
Les archives de Villers-aux-Vents de J. Féry.
« On pourrait encore ajouter comme cause de diminution de la population les fréquents incendies qui ont éclatés dans la commune de 1801 à 1881 (10 incendies, pertes totales évaluées à 150000 F..) Enfin la cessation définitive des travaux de la tuilerie, laquelle occupait une vingtaine d'ouvriers qui ont dû quitter le pays. »
Monsieur Barbier de Laimont m'a donné une tomette carrée portant le sigle ovale « Tuilerie de Villers-aux-Vents ». J'en ai fait don à monsieur Parisse, créateur de l'excellent musée de la tuile à Pargny-sur-Saulx.
Je possède aussi quelques tuiles mécaniques portant l'inscription « Chanterelle Villers-aux-Vents »
Pour le moment, je n'ai pas trouvé d'autres traces tangibles..
D'autres pistes...
|
